Colloques et ateliers au Sahel
Colloque régional « Nouer des liens entre la recherche en agroforesterie et le développement au Sahel »
Dans le cadre de la deuxième phase du projet « Nouer des liens entre la recherche en agroforesterie et le développement au Sahel », financé par le Centre de recherches pour le développement international (CRDI), l'Université Laval et l'ICRAF (World Agroforestry Centre) ont organisé, les 14 et 15 février 2007, un colloque régional sur les aspects socio-économiques de l'agroforesterie au Sahel.
Le projet dans lequel s'inscrivait cet atelier poursuivait les quatre objectifs suivants :
- analyser les facteurs socio-économiques et politiques liés à l'utilisation et à l'adoption d'options agroforestières améliorées et développer des partenariats stratégiques de façon à lever les contraintes observées;
- comprendre et décrire le savoir des paysans et des autres intervenants impliqués en matière d'agroforesterie, étudier les diverses formes d'adaptation apportées à ce qui leur a été proposé jusqu'ici et identifier leurs besoins et préférences pour d'autres options agroforestières;
- évaluer les divers modes de diffusion et de vulgarisation employés en agroforesterie et mettre au point des stratégies et des méthodes plus efficaces à travers un processus de recherche-action impliquant les paysans et les divers intervenants concernés et en prêtant une attention particulière à ceux qui sont les moins nantis;
- renforcer les capacités institutionnelles de recherche, d'enseignement, de vulgarisation et de développement sur la base d'une meilleure compréhension et intégration des aspects sociaux, économiques, culturels et politiques de l'agroforesterie, tout en assurant une plus large diffusion de l'information et de la documentation en la matière.
Le présent colloque régional, quant à lui, visait principalement à favoriser l'analyse, l'intégration et la diffusion des résultats obtenus au cours des deux phases du projet. Il a notamment permis aux étudiants ayant reçu l'appui du projet de présenter les résultats de leurs travaux de recherche de maîtrise ou de doctorat. Les coordonnateurs nationaux du projet, ainsi que des étudiants sahéliens, y ont également fait part de leurs travaux, qui concernaient divers aspects sociaux, culturels, économiques et politiques de l'agroforesterie sahélienne.
Deuxième atelier régional sur les aspects socio-économiques de l’agroforesterie au Sahel
Dans le cadre de la première phase du projet « Nouer des liens entre la recherche en agroforesterie et le développement dans les basses terres semi-arides de l’Afrique de l’Ouest », financé par le Centre de recherches pour le développement international (CRDI), l’Université Laval et l’ICRAF (World Agroforestry Centre) ont organisé, du 4 au 6 mars 2002, un deuxième atelier régional sur les aspects socio-écnomiques de l’agroforesterie au Sahel. Cet atelier faisait suite à un premier atelier qui s’était tenu à Ségou, au Mali, du 5 au 8 décembre 2000.
Le projet dans lequel s’inscrivait cet atelier poursuivait les quatre objectifs suivants :
- Faire en sorte que les collectivités locales, les chercheurs et les décideurs acquièrent une meilleure compréhension des processus socio-économiques et biophysiques associés aux systèmes agroforestiers ;
- Vulgariser les systèmes agroforestiers porteurs auprès des exploitants en évaluant les répercussions sur le terrain ;
- Renforcer et mettre en valeur la capacité nationale et institutionnelle de recherche en agroforesterie ;
- Donner un plus grand accès à l’information dans le domaine agroforestier et diffuser les résultats de recherche auprès des exploitants, des professionnels du développement, des chercheurs et des décideurs.
Ce deuxième atelier régional a notamment permis aux étudiants et chercheurs ayant reçu l'appui du projet de présenter une conférence faisant état de l'avancement de leurs travaux de recherche. On s’y est surtout attardé sur les aspects sociaux, culturels, économiques et politiques de l’agroforesterie sahélienne, qui ont longtemps été négligés, alors qu’ils revêtent une importance considérable pour les paysans comme pour tous les autres intervenants concernés. En effet, l’adoption d’une innovation agroforestière est bien souvent beaucoup plus conditionnée par ces aspects que par des questions purement techniques. L’atelier a également été l’occasion de discuter des suites à donner au projet qui prenait fin officiellement le 31 décembre 2002.
Atelier régional sur les aspects socio-économiques de l’agroforesterie au Sahel
Dans le cadre de la première phase du projet « Nouer des liens entre la recherche en agroforesterie et le développement dans les basses terres semi-arides de l’Afrique de l’Ouest », financé par le Centre de recherches pour le développement international (CRDI), l’Université Laval et l’ICRAF (World Agroforestry Centre) ont organisé, du 5 au 8 décembre 2000, un premier atelier régional sur les aspects socio-écnomiques de l’agroforesterie au Sahel.
Le projet dans lequel s’inscrivait cet atelier poursuivait les quatre objectifs suivants :
- Faire en sorte que les collectivités locales, les chercheurs et les décideurs acquièrent une meilleure compréhension des processus socio-économiques et biophysiques associés aux systèmes agroforestiers ;
- Vulgariser les systèmes agroforestiers porteurs auprès des exploitants en évaluant les répercussions sur le terrain ;
- Renforcer et mettre en valeur la capacité nationale et institutionnelle de recherche en agroforesterie ;
- Donner un plus grand accès à l’information dans le domaine agroforestier et diffuser les résultats de recherche auprès des exploitants, des professionnels du développement, des chercheurs et des décideurs.
L’atelier a pour sa part permis de réunir autour d'une même table plus d'une trentaine de personnes provenant de divers horizons. Agents de développement et chercheurs des quatre pays couverts par le projet, étudiants et professeurs de l'Université Laval ainsi que chercheurs de l'ICRAF ont ainsi fait le point sur la recherche et le développement en matière d'agroforesterie au Sahel, et plus particulièrement sur les aspects socio-économiques qui lui sont liés. Ils ont aussi tenté de définir des stratégies visant à favoriser une plus large adoption des innovations agroforestières.
Cette rencontre a été suivie par la tenue de quatre ateliers nationaux qui ont eu lieu à Ségou (Mali) les 20 et 21 mars 2001, à Niamey (Niger) les 18 et 19 avril 2001, à Ouagadougou (Burkina Faso) les 3 et 4 mai 2001 et à Dakar (Sénégal) les 16 et 17 mai 2001. Dans chaque pays, divers intervenants de la recherche et du développement ont passé en revue les acquis et discuté de la question de la diffusion des résultats de recherche.